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Il n’y a pas changement de rapport de force, il y a simplement changement dans l’expression démocratique du rapport de force. Incontestablement, il y a eu entre les deux tours un sursaut démocratique pour ne pas laisser une frange de l’électorat de droite et d’extrême droite arbitrer l’élection.
On est en réalité dans un rapport de forces de même nature qu’en 2008, sauf qu’en 2008, le comportement des socialistes et des verts, n’avaient pas permis l’élection d’un exécutif légitimé réellement dans la population. D’où le profond malaise qui a perduré trois ans et dont le maire semble seulement avoir pris une (...)